Nadine à Tahiti
Les parfums chauds et noisettes de ces îles mirifiques
M'évoquent tes beaux yeux et leur admirable caresse
L'écume des vagues, les rouleaux dans les criques
Sont les cheveux châtains de ton front de déesse.
J'écoute la pluie se noyer dans l'orage
Et j'entends ton souffle, aimable sirène...
Un phénix rose s'enfuit loin de sa cage,
Mais c'est de toi, ma fleur du désert, que mes yeux se souviennent...
ESCOBAR, écrivain de tes heures...